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Le syndrome du surentraînement : comment l’éviter ?

Surentrainement : comment l'éviter

Chute des performances, grosse fatigue et perte d’appétit vous assaillent ? Pensez au syndrome du surentraînement ! Les tips du coach pour ne pas tomber dans le piège de l’overtraining.

Qu’est-ce que le surentraînement ?
Quand on pratique un sport de manière régulière (musculation, fitness, vélo, running, natation…), le corps a besoin de phases de repos afin de récupérer et d’améliorer ses performances. C’est pendant ces temps off que les muscles et les articulations se régénèrent et se développent. Un volume d’entraînement ou une intensité inadaptée empêchent l’organisme de se recharger. C’est là que le surentraînement et ses conséquences guettent.

Quels sont les symptômes d’un surentraînement ?
Si les symptômes varient en fonction du sport pratiqué et du profil de chaque personne, on retient les signaux suivants :

  • Baisse des performances,
  • Sensation de fatigue,
  • Diminution de l’appétit,
  • Troubles digestifs (nausées),
  • Troubles du sommeil,
  • Douleurs musculaires, articulaires,
  • Variations de l’humeur,
  • Manque de motivation…

Quelles sont les causes les plus courantes du syndrome de surentraînement ?
Soyons honnête, enchaîner les séances de sport ou les cours collectifs intenses (cross training, boxing, Grit™…) sans intercaler des activités plus soft (tai-chi, yoga, Bodybalance™) ou des temps morts incarne une cause de surentraînement majeur. A cette première explication s’ajoutent d’autres scénarios possibles :

  • Une montée en puissance trop rapide de l’intensité des séances,
  • Une alimentation inadaptée,
  • Un burn-out ou du stress,
  • Des conditions d’entraînement inhabituelles (température par exemple),
  • Une hygiène de vie inadaptée,
  • Un état de santé altéré.

Comment venir à bout d’un syndrome de surentraînement ?
Pour restaurer l’équilibre, nul élixir magique mais du bon sens. Le coach conseille évidemment une mise au repos totale accompagnée d’une alimentation optimale et d’une bonne hydratation. On privilégie les mets non acides (exit les sucres, l’alcool, la charcuterie) et on se concentre sur les fruits, les légumes et les céréales (complètes de préférence). La bonne idée : se lancer dans un programme de rééquilibrage alimentaire.

Comment éviter de subir un syndrome de surentraînement ?
Comme souvent, le conseil du coach privilégie l’écoute de son propre corps. Au moindre signe annonciateur (baisse de motivation, douleurs musculaires persistantes, irritabilité…), on n’hésite pas à lever le pied et à faire le point avec son médecin.

Crédit photo : Melbourne – Textes : Skom.

Auteur : Séverine Skom

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