Cheat meal : on ose ou pas ?
En période de réouverture des terrasses des restaurants, on ne pouvait raisonnablement pas faire l’impasse sur la question du cheat meal. De quoi s’agit-il, comment s’y mettre, quels effets en attendre ? On vous dit tout !
Qu’est-ce qu’un cheat meal ?
Littéralement, ce repas de pure triche (traduction : cheat = triche & meal = plat) consiste à s’accorder une assiette dénuée de toute contrainte. Bye bye régime hypocalorique, super protéiné et autres diètes paléo, bonjour pizza et hamburger !
Généralement, la cheat attitude concerne les puristes de la musculation, de l’entraînement fonctionnel et autres sportifs en période de sèche. Soumis à un régime strict, leur corps finit par ne plus réagir suffisamment à la privation. Résultat : les résultats stagnent et… bonne nouvelle pour les plus gourmands (es), c’est là que le cheat meal devient intéressant !
Comment ça marche ?
Quand nos apports nutritionnels sont stricts, le métabolisme de base régresse et avec lui, la combustion des graisses qui baisse en intensité. Tout le contraire de l’effet escompté ! Pour réinitialiser la machine, rien de tel qu’un cheat meal hebdomadaire.
Cette pratique pousse le corps à s’adapter en le choquant avec une prise alimentaire atypique. La bonne idée ? Partager ce repas régressif en famille ou entre amis et s’accorder un restaurant en terrasse pour profiter des beaux jours post-déconfinement !
A quel moment caler un repas triche ?
Déjà soumis à de nombreuses contraintes, on ne va pas en plus s’imposer des règles strictes sur la partie libre de notre programme alimentaire ! On part certes sur un rythme hebdomadaire, mais tout en s’accordant le choix du jour et du moment. Déjeuner ou dîner. Seul ou à plusieurs. Chez soi pour maîtriser l’intégralité de la recette ou en mode restaurant pour en profiter autrement… toutes les formules s’avèrent gagnantes, pourvu que l’on ne transforme pas cet écart en journée complète !
Crédit photo : Pixabay – Textes : Skom.
Auteur : Séverine Skom
